L’ablation chirurgicale est, le plus souvent, la première étape du traitement. La tumeur est souvent difficile à retirer. Il n’est pas rare que le neuro-chirurgien définisse l’ablation comme presque totale parce qu’il a dû laisser une fine couche de tumeur sur le plancher du 4è ventricule. Dans ce cas, habituellement, l’imagerie pratiquée le lendemain de l’intervention ne montre pas de tumeur résiduelle.
© Institut de cancérologie Gustave-Roussy